voici la fin du Congo .......
De plus, la locomotive est incapable de lutter contre une automobile réputée légère. Hergé n’est pas tendre avec le chemin de fer local…(une petite vengeance personnelle ?), par la voix de Tintin. : « Sale petite machine », « vieille tchouk-tchouk », lequel Tintin. est immédiatement rabroué par les autochtones : « Ca y en a belle locomotive ». Tintin. réussit à faire rétablir la situation avec l’aide des voyageurs malgré leur réticence. Le train se retrouve à nouveau sur les rails après de menues réparations mais la locomotive déclare forfait et est suppléée par la Ford. Nous voici bientôt en vue d’une station dont le bâtiment est une hutte en toit de chaume et qui possède les attributs d’une gare : bifurcation, local du « chef de station/statieoverste » (indication bilingue disparue dans la version couleurs) et pancarte « défense de traverser les voies sans l’autorisation de Monsieur le chef de gare ». Le chef de station, manifestement âgé (barbe blanche) a une main sur le levier de l’aiguillage, amorce d’une bifurcation ou d’une voie de garage, et porte de l’autre le drapeau rouge, symbole universel de sécurité, signifiant l’arrêt obligatoire du train. Le panneau situé à droite de la voie, avant la gare doit comporter le nom de celle-ci, nom que nous ne connaîtrons jamais.
Ici se termine l’épisode ferroviaire du « Congo » qui n’ajoutera rien à la gloire du chemin de fer
à suivre ...
escarbil
PS: on reprendra la suite à la rentrée si vous le voulez bien, il reste encore des moments de choix...