-On dirait qu'elle sort des révision, du dépôt des Plantaz !
Le peintre, à mon époque, faisait les marquages au "pochoirs" et passait des heures à peindre les lettres en jaune puis les ombrage.
Il s'appelait Marius Nicolas, il aurait plus de cent ans maintenant ; l'hiver il faisait le contrôleur dans les trains.
Car pas de chauffage dans le dépôt, juste des poêles à l'atelier, à la menuiserie. Par grand froid, l'eau pour la meule était gelée le matin...