Intéressant ce procédé.
Mes souvenirs de FFT sont flous et lointains, en gros c'est incontournable pour l'analyse spectrale (phénomènes périodiques complexes.
Pour résumer ma compréhension du problème au saut du lit
:
- il y a le tramage de la revue (phénomène d'échantillonnage)
- puis le tramage sur scanner (autre phénomène d'échantillonnage)
- les deux échantilllonages ont des fréquences (modules pour les amateurs de trains à crémaillère) différentes
- et en plus c'est en 2D
- et le calage des axes du scanner n'est pas parfait par rapport aux axes d'impression
Pour l'analogie avec les engrennages en une dimension, imaginez une roue dentée de module 0,4 sur une crémaillère de 0,5 qui en plus est en biais par rapport à l'axe de la voie. Cela cahote en mécanique, en image cela génère du "bruit". Et en plus c'est en 2D (alors là, je ne trouve pas d'analogie).
Avec un tel bazar, il faut une méthode mathématique puissante pour remettre de l'ordre.
Ne courrez pas à la pharmacie pour faire le plein d'aspirine !
Laissons donc de côté cette théorie.
Question pratique aux experts :
- j'imagine intuitivement qu'il faut scanner avec la plus forte résolution possible (en points par pouce), sous réserve que cela n'éffondre pas les ressources de calcul (RAM, vitesse CPU). Vrai ou faux et dans quelle limite ?
Si c'est vrai, pour ceux soucieux de l'espace consommé sur le disque, une fois le traitement réussi, on garde l'image après traitement et on efface le scan.
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Je collectionne des vieilles carcasses, puis je les contemple, je les hume. Ensuite je les découpe, je mélange les morceaux, puis je les combine en les collant, les cousant ( si ! ) en cautérisant au besoin. Enfin par une étincelle (12 000 mV max) je leur redonne vie. Dr SixtifensteinEntraide, Tolérance, Diversité, Imagination, Convivialité, Persévérance
Bien faire et laisser dire.
matériel;
calva;
atelier;
Craquetot