Ça peut se faire, mais du coup on verra tous les compromis que j'ai faits (et que j'assume !)
J'ai commencé cet hiver. Je voulais insérer un réseau breton à peu près réaliste dans une boucle de mon réseau principal commencé en 1996, en raccordant en plus une voie unique normale au niveau supérieur dudit réseau à la voie intérieure principale au niveau en dessous, en passant par un tunnel qui existe depuis l'origine, d’où un S bien torturé, et une gare avec les deux écartement. On devine le retour de cette voie quasi à l'aplomb de la remise sur la photo du bas.
Ma voie métrique est du Peco, mon matériel roulant une 230T Model Loco, une 030-030 Mallet TdA, et un OC2 du même regretté constructeur, ainsi que quelques voitures et wagons, pas tous construits.
Après avoir fabriqué et inséré en trois morceau les plateformes dans la boucle, j'ai posé la voie normale puis la voie métrique, et repris les courbes jusqu'à ce que cela ne déraille plus (ou pas trop...).
En ce moment, je met la dernière main à ma gare, qui "fait" bien plus grande que ce que je pensais. La voie de débord, trop proche de la gare (mais pas le choix), sera noyée.
Au fond côté murs, certains reconnaitront la remise, la sablerie et le bureau de la feuille, qui viennent du réseau de Port de Carhaix, de Bernard Walter.
Prochaine étape : quais, murs de soutènements côté gare.
Le trou d'homme sera comblé au final par un relief qui me reste à déterminer. Là où on voit le carton plume blanc sera le village d'Astérix, en attraction touristique, contrainte familiale (mais ça m'amuse).
Devant, du côté des fenêtres de ma pièce, je prévois l'évocation d'un petit port. Il n'y aura pas de représentation d'eau, pour cause de voies passant en dessous.