La loco est livrée avec, dans une pochette, un machin cylindrique vertical strié (Pièce 38). J'y connais rien
. Parlez-moi Berliet
) et une grappe contenant les attelages à choquelle et les crochets d'attelage (attelages à palonnier), des câblots de freins et des tampons à mettre éventuellement à la place des attelages à boucle :
Gaffe, y'a pas de rab
. En essayant de placer tout ça, un crochet a pris la poudre d’escampette et je ne sais pas ou il est
!!!
Une excellente notice très détaillée donne la liste des pièces de rechange :
L'éclaté permet de comprendre comment démonter les superstructures, d'abord la cabine en écartant largement les flancs pour que les arrondis inférieurs de la face avant puissent "échapper" la rotondité de la chaudière.
Puis la chaudière, en tirant vers l'extérieur le "toboggan" -pièce 39- situé sous la porte de la boîte à fumée. La chaudière reste cependant solidaire du châssis par l'intermédiaire des fils de la lanterne supérieure (diode) :
Euh, j'avoue ne pas avoir pensé à regarder si cette diode pouvait être retirée
. Et bien sûr, j'ai tout remonté depuis et rangé le tout à sa place dans le placard
.
Toutes les pièces de détaillage, poumons et timonerie de frein, réservoir d'air (
) etc. sont juste encliquetées. Mais attention, les tenons sont très petits et très fragiles : je vous conseille d'ôter les pièces bien perpendiculairement à leur surface de contact, à l'aide d'une lame fine.
Dans la cabine, la façade du foyer est absente, de même que la "panoplie", l’emplacement étant occupé par le moteur, très plat et qui ne se voit pas de l'extérieur puisque la cabine est équipée de portes :
Les 2 vis situées sous le carter permettent d'accéder à la cascade de pignons, qui entraînent le 1er et le 3e essieu :
L'essieu intermédiaire est juste mis en mouvement par la bielle, si j'ai tout compris.
Bon, voilà.
À vous le studios...