Compagnie du BLANC - ARGENT

[La bête de Calvi]

La séquence "Nostalgie" du lundi soir.

Nous voici en juillet 2002, une époque à la fois lointaine et proche en matière d'exploitation de la ligne, et un période charnière au niveau du matériel roulant.

Olivier Geerinck a la chance de photographier un Socofer entrant en gare de Chabris, laissant la voie libre à un Verney en route vers Valençay.
2002 sera la dernière année où les Verney seront présents en masse aux cotés des Socofer. Dès l'année suivante, les CFD vont entrer activement dans le service, les Socofer passeront en réserve et les Verney s'éclipseront discrètement.

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Merci pour cette belle photo qui remplit trois critères,
-composition , le relief de l'image est donné par une succession de plans
-cadrage, les véhicules sont photographiés en entier.
-éclairage, le photographe tourne le dos au soleil qui éclaire ainsi le sujet ou l 'objet. Technique Hollywood.

[Storm]

Belles années pour moi à venir passer des WE dans la région... Un peu mélanco sur ce coup Le statut de "gare de croisement" de Chabris vient de la guerre je crois car elle marquait la coupure entre zone libre et occupée; la ligne de démarcation passant par le Cher. Après, il est possible que les croisement se fassent avant aussi

[BG1000]

J'ai une fois vu un accouplement de Verney à Chabris.

[242TE66]

Lors de ma première visite au BA, en avril 1969, j'avais voyagé à bord du X 221 sur les trajets suivants :
Salbris - Valençay - Salbris - Buzançais - Gièvres (et toujours à ma place favorite, à côté du poste de conduite opposé au compartiment moteur et orienté vers Buzançais).
L'autorail était accompagné de la remorque XR 701 uniquement sur les trajets Salbris - Romorantin - Salbris - Romorantin. La dernière course avait pour terminus Romorantin et s'est effectuée en jumelage avec le X 211 à partir de Chabris mais j'ai quitté le BA à Gièvres pour aller prendre un train de nuit à Vierzon.

Les indicateurs de 1914, 1919, 1931 et 1939 ne montrent pas de croisements à Chabris, mais ça ne prouve pas qu'il n'y avait pas de voie d'évitement avant les années quarante. En 1939, un autorail en provenance de Romorantin avait son terminus à Chabris le mercredi (jour de foire) et repartait peu après dans l'autre sens mais, s'il ne tirait pas de remorque, il n'avait pas besoin d'une voie d'évitement....
242TE66

[Storm]

Je ne pense pas que le plan de voies ait changé dans le temps hormis peut-être la suppression d'une voie de débord (j'ai un doute) dans la cour comme à Luçay par exemple. Chabris est également la première gare de type "Berry" de la ligne vers le sud.
Et ça c'était la maison de mes parents, place du champ de foire...

[Jeannot]

Les gares du B.A ont toujours eu une voie d'évitement, à part quelques unes comme Heugnes où le service était plus restreint.

Le tableau de la marche des trains peut très bien ne pas prévoir de croisements à un moment donné, mais qu'il y en ait un au service suivant.
En plus, cela permet de reporter les croisements en cas de retard, et d'en effectuer pour les trains spéciaux ou facultatifs, comme les trains de marchandises qui pouvaient être mis en marche selon les besoins du trafic.

A Chabris, il n'y avait pas de voie de débord comme à Luçay, seulement une voie perpendiculaire à la voie de halle et accessible par une plaque tournante.

[pelican]

Souvenirs, souvenirs ...

[FRANCOIS19]

Merci pour ces partages de mémoire

[La bête de Calvi]

Les gares du B.A ont toujours eu une voie d'évitement, à part quelques unes comme Heugnes où le service était plus restreint.

Le tableau de la marche des trains peut très bien ne pas prévoir de croisements à un moment donné, mais qu'il y en ait un au service suivant.
En plus, cela permet de reporter les croisements en cas de retard, et d'en effectuer pour les trains spéciaux ou facultatifs, comme les trains de marchandises qui pouvaient être mis en marche selon les besoins du trafic.

A Chabris, il n'y avait pas de voie de débord comme à Luçay, seulement une voie perpendiculaire à la voie de halle et accessible par une plaque tournante.

Dans mes archives photographiques du BA, allant des débuts jusqu'à aujourd'hui, on voit des opérations de croisements à Chabris à toutes les époques, jusqu'à la fermeture provisoire du 01 avril 2012.
Entre convoi de voyageurs, principalement à l'époque de la vapeur. Après les années 50, ce sont surtout des croisements avec des convois de marchandises que l'on observe, mais aussi quelques mouvements réguliers, sans doute aux pointes scolaires vu le matériel.

Egalement jusqu'à la fermeture provisoire, le dernier départ de Romorantin vers le Berry était limité, le weekend, à Chabris. C'est d'ailleurs à ce service qu'échu le dernier train du 01/04/2012.

[242TE66]

Chabris.
Une CPA de la gare de Chabris où l'on distingue bien les trois voies :

BA - Gare de Chabris

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[Storm]

On voit aussi une "symétrique" à l'entrée et je ne me souviens pas en avoir vu ailleurs, sans certitude aucune là mais ça m'avait marqué à l'époque

[La bête de Calvi]

La séquence "Nostalgie" du lundi soir.

Dans la douce lumière d'un matin de novembre 1987, un autorail Socofer dessert la gare de La Ferté-Imbault, alors qu'il descend de Salbris vers Romorantin.
Ce faisant, il rencontre le locotracteur BA.14 en tête d'un train de service assurant, outre un transport de traverses, l'approvisionnement en combustible des gares de la ligne.

Photo Eric Martin

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Merci pour ce document. La compagnie était organisée. Les traverses anciennes sont distribuées dans les gares.
Le monde des cheminots étaît solidaire .

[Storm]

Il y avait un "train charbon" à chaque automne pour ravitailler les gares. Pour les traverses, normalement on ne les brule pas